Point commun entre les deux ouvrages, la femme, ou au moins les femmes et la langue qui va de pair avec la formation du monde : « Les lettres hébraïques sont du genre féminin. Le corps écrit de la Thora, confié à l’arbre de transmission masculin, est composé de cellules féminines, c’est pourquoi il est vivant et produit de nouvelles pousses à chaque lecture, dans chaque génération. Même l’Écriture sainte, le domaine le plus strictement masculin, est constituée de vie féminine grâce aux lettres. »
Dans Les poissons ne ferment pas les yeux, il s’agit d’une f...
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