L’amour, le sacré, le mal, autant de thèmes récurrents dans l’œuvre d’Anna Maria Ortese depuis son premier recueil Gli angelici dolori (1937) – repris en français dans Aurora Guerrera et autres nouvelles (1) – jusqu’à ce dernier ouvrage posthume. Sans doute écrites durant les années 1970, et retrouvées dans les archives de l’écrivaine, née à Rome en 1914 et décédée à Rapallo en 1998, ces 100 pages semblent préluder à la Douleur du chardonneret (2), panneau central du fameux triptyque des « bêtes-anges » qui inclut L’Iguane (3) et Alonso et les visionnaires<...
La connaissance de la douleur et le parfum des roses
Article publié dans le n°1060 (01 mai 2012) de Quinzaines
Mistero doloroso
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)