Il en va ainsi en tout cas pour le présent recueil des poèmes de James Joyce, et cette Musique de chambre qui retrouve ou accueille enfin la forme dont Joyce l’avait amoureusement parée et dont son frère Stanislaus l’avait départie.
Saluée par le Times Literary Supplement et par le très avisé Lawrence Ferlinghetti depuis la mythique City Lights de San Francisco, cette version rétablie fait figure désormais de première édition.
Tout commence ou tout finit peut-être en 1907 à la parution de Chamber Music. Joyce, absorbé par la recherche d...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)