L'histoire de sa famille sert de point de départ. Du côté paternel, les Lipsztejn nom francisé en Lapierre par son père après la guerre , juifs polonais de Lodz, on compte beaucoup de victimes du génocide, et un oncle, Mendel, tombé lors du soulèvement de Varsovie en 1944. Du côté maternel, il s'agit aussi de juifs de Pologne, arrivés en France au début du XXe siècle, qui, au contraire, ont tous été sauvés, grâce à l'aide spontanée d'une partie de la population française. Et grâce aussi à l'audace, à la débrouillardise, au dynamisme et à l'incroyable vitalité des femmes juives. Mais cet...
Le comparatisme est un humanisme
Article publié dans le n°1137 (22 oct. 2015) de Quinzaines
Sauve qui peut la vie
(Seuil)
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