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Ne l’emporte le désespoir

Ce récit fait suite à L’Hirondelle rouge publié au Mercure de France en 2017 où Jean-Michel Maulpoix évoquait la disparition de son père puis de sa mère. C’est un livre de deuil écrit dans la continuité du précédent mais c’est aussi de sa propre mort que celui-ci va parler.

Le Jour venu se divise en sept volets d’égale longueur et, pour ne pas faire oublier qu’il est avant tout poète, Jean-Michel Maulpoix y a glissé, pour le rythme, neuf chapitres de même longueur aussi. L’incipit du premier volet Lueurs du soir anticipe l’avenir et la vieillesse avec des touches sensorielles émouvantes et une allusion au jardin-éden de l’enfant : « vous poserez mon fauteuil dans l’herbe... avec un coussin de laine rouge... le pommier se couvre de fleurs blanches et roses ». Et à la fin : « Je voudrais que le jour venu la lumière me ferme...

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