Le Jour venu se divise en sept volets d’égale longueur et, pour ne pas faire oublier qu’il est avant tout poète, Jean-Michel Maulpoix y a glissé, pour le rythme, neuf chapitres de même longueur aussi. L’incipit du premier volet Lueurs du soir anticipe l’avenir et la vieillesse avec des touches sensorielles émouvantes et une allusion au jardin-éden de l’enfant : « vous poserez mon fauteuil dans l’herbe... avec un coussin de laine rouge... le pommier se couvre de fleurs blanches et roses ». Et à la fin : « Je voudrais que le jour venu la lumière me ferme...
Ne l’emporte le désespoir
Article publié dans le n°1225 (01 avril 2020) de Quinzaines
Le Jour venu
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