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Nous avons tous besoin d’un pays

« Un pays est nécessaire, ne serait-ce que pour le plaisir de le quitter. » Ces mots, que Cesare Pavese écrit dans La Lune et les Feux, semblent résonner à chacun des pas accomplis par Jean-Pierre Ferrini. Je cherchais un pays est avant tout cela : le récit d’une marche, d’un chemin qui traverse la Franche-Comté, passe par l’Italie et croise l’Iran.
Jean-Pierre Ferrini
Je cherchais un pays

Une marche qui, contrairement aux grands récits de voyage traditionnels, n’a rien à voir avec l’idée d’un progressus, d’une progression linéaire qui nous amènerait vers la bonne destination, vers le sommet qui permettrait de tout voir clairement, comme Dante sur la montagne du Purgatoire. Au contraire, le parcours de Ferrini est surtout celui d’une errance, d’une marche qui parfois revient en arrière, trouve des impasses, change de trajectoire, se disperse. Comme le titre le suggère, la recherche n’est qu’au début, l’imparfait (« je cherchais ») indiquant que

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