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Un fasciste pour grand-père

Nomen omen, le nom est présage, dit l’adage latin. Mais que faire d’un nom aussi encombrant que celui de Benito dans l’Italie postfasciste ? L’enquête que mène Michela Marzano dans son récit autobiographique tente de répondre à cette question.
Michela Marzano
Mon nom est sans mémoire
(Stock)

Tout commence lorsque Michela découvre dans un certificat de baptême que le deuxième prénom de son père est Benito, en hommage au Duce Mussolini. La révélation ne tarde pas à arriver : le juge Arturo Marzano, le grand-père de Michela, n’était pas le simple royaliste patriote et vaguement nostalgique qu’elle croyait, mais un fasciste de la première heure, l’un des principaux soutiens de Mussolini au moment où celui-ci créa son parti en 1919.


Contrairement à son père, qui reste indifférent face à cette découverte, Michela mesure tout le poids de la vérité qui vient de lui ...

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