Sur le même sujet

A lire aussi

Présence permanente d'Arthur Miller

 Plus de soixante ans séparent le roman Focus paru en 1945 pour « briser le silence, éclairer la haine », le silence sur les Juifs et leur sort, et les six nouvelles écrites à l’automne de la vie d’Arthur Miller, publiées dans des revues et rassemblées en 2007, deux ans après sa mort. Miller indispensable, attachant, intensément présent au monde, aux racines des scènes de théâtre qui ont fait ses triomphes.

Sans plus attendre, il faut lire les nouvelles d’Arthur Miller, parce qu’elles empruntent les chemins du désir, de l’identité ou de la survie, parce qu’elles rapportent le bilan d’une vie d’homme qui s’achève par un hymne à l’amour charnel, un soir au bord de mer. Six nouvelles qui reprennent les grandes pulsions d’une œuvre riche en combats et émotions, cette fois dans un format chaleureux et intime, mêlant candeur et fausses confidences. Sans user pour autant de la première personne, Miller reprend des moments de son parcours, de Brooklyn à Berlin, de la grande propriété du Connecticut...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi