Tout est donc là – en six chapitres aux titres savamment composés et deux cents pages à la fois denses et aériennes –, que les plus familiers de l’œuvre du cinéaste franco-suisse connaissent peut-être déjà, mais que Didi-Huberman réagence et éclaire autrement, en profondeur, par autant de propositions exemplairement critiques : la « désautorisation » de la citation, qui implique aussi la « réautorisation » du réalisateur-organisateur du montage ; la dialectique du montage, envisagée dans sa double dimension de « suspens inhérent à toute tension (voi...
Remonter le passé
Article publié dans le n°1128 (16 mai 2015) de Quinzaines
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