Sur le même sujet

A lire aussi

Articles du même critique

Remonter le passé

Les chemins qu'emprunte Georges Didi-Huberman dans "Passés cités par JLG" ont déjà été arpentés par d'autres brillants promeneurs: Jacques Aumont, Alain Bergala, Serge Daney, Gilles Deleuze, Youssef Ishaghpour ou Jacques Rancière, pour ne citer que quelques uns de ceux à qui il se réfère lui-même. Son essai n'est pourtant pas une synthèse, ni seulement un prolongement, car s'il s'empare avec un courage intellectuel constant des questions les plus complexes (et parfois les plus pénibles) qu'on peut poser au cinéma de Jean-Luc Godard, c'est en les décadrant pour mieux les repenser.
Georges Didi-Huberman
Passés cités par JLG

Tout est donc là – en six chapitres aux titres savamment composés et deux cents pages à la fois denses et aériennes –, que les plus familiers de l’œuvre du cinéaste franco-suisse connaissent peut-être déjà, mais que Didi-Huberman réagence et éclaire autrement, en profondeur, par autant de propositions exemplairement critiques : la « désautorisation » de la citation, qui implique aussi la « réautorisation » du réalisateur-organisateur du montage ; la dialectique du montage, envisagée dans sa double dimension de « suspens inhérent à toute tension (voi...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi