Sans doute, à lire les titres de ses romans, serions-nous tenté de penser qu’ils relèvent de l’art ancien du portrait, puisqu’il y est question d’un homme, parfois nommé (Max, Maurice), parfois affublé d’attributs insolites (« à la poule », « qui avait deux yeux »), en sorte que les protagonistes s’annoncent de prime abord comme des caractères qu’il s’agirait de découvrir. Mais la lecture de son dernier ouvrage oppose un démenti frappant à cette attente. Tout commence, en effet, par le décès de « la femme dans la chaise longue » peu de temps après le c...
« Tout le monde ne peut pas être un tigre »
Article publié dans le n°1144 (01 févr. 2016) de Quinzaines
L’homme qui avait deux yeux
(Zoé)
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