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Un récit poétique et haletant

Deux ans après Mon maître et mon vainqueur, Grand Prix de l’Académie française, François-Henri Désérable revient avec un récit nécessaire et bienvenu sur la condition iranienne, né de quarante jours passés dans le pays : L’Usure d’un monde.

L’avantage, avec François-Henri Désérable, c’est qu’il ne commet jamais deux fois le même livre. C’est une chose d’étonner le lecteur ; c’en est une autre que de prendre le contrepied à chaque fois et de sortir d’une écriture balisée pour se mettre en danger. Après des premiers livres placés sous la férule de Pierre Michon, Jean Echenoz et Tanguy Viel, il s’agit à présent pour lui de prolonger l’œuvre de Nicolas Bouvier et de s’inscrire dans le sillage de L’Usage du monde, auquel le titre fait évidemment référence, soixante ans plus tard. Point de Fiat Topolino ici, ni ...

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