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Une étrange solitude

Dans un premier roman ambitieux et délicat, Robin Josserand compose un brillant art de la fugue mettant en scène un bibliothécaire et un clochard qui ne cesseront de s’affronter et de se retrouver, de Lyon à l’île de Groix, le temps d’un été.
Robin Josserand
Prélude à son absence

Ce roman aurait pu s’intituler Les Beaux Garçons, en écho aux Jeunes Filles de Montherlant. Le narrateur l’admet d’emblée : « Si je devais réfléchir à ce pour quoi j’ai commencé à écrire, je dirais que la littérature, pour moi, consiste à décrire de beaux jeunes hommes. » En quête de beaux garçons, alors qu’il vient d’avoir trente ans et ne parvient plus à écrire ni même à désirer comme autrefois, Robin s’entiche de Sven, un clochard taciturne qu’il a croisé dans les rues de Lyon, mélange de Glenn Gould – « Gould avec un air avachi...

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