Elle a pourtant frappé plus de dix millions de personnes : d’abord les populations recrutées puis raflées par les nazis pour fournir une force de travail au rabais dans les camps et les usines (Polonais, Ukrainiens…), les populations civiles victimes des combats qu’elles tentent de fuir (Baltes, Polonais encore), les juifs rescapés de l’extermination nazie, les Lettons, Estoniens, Lituaniens, Ukrainiens fuyant l’avance de l’Armée rouge, soit parce qu’ils avaient étroitement collaboré avec les nazis (surtout les nationalistes ukrainiens et lettons), soit parce qu’ils ne voulaient pas...
Une histoire "incommode" ?
Article publié dans le n°1117 (01 déc. 2014) de Quinzaines
Le long retour (1945-1952) : l'histoire tragique des « déplacés » de l'après-guerre
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