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Une personnalité défaite

Traduit en français après plusieurs autres, au rebours de la chronologie, "Le Silence de Perlmann" est en fait le premier roman publié en allemand par Pascal Mercier. L’auteur, de son vrai nom Peter Bieri, est un philosophe d’origine suisse, spécialiste des langues (entre autres), qui a fait le choix de l’écriture romanesque à côté de ses publications scientifiques et a déjà reçu diverses récompenses (en France, le prix Michel Tournier 2011 pour Léa) (1).
Pascal Mercier
Le silence de Perlmann

Le Silence de Perlmann a pour cadre un monde que l’auteur connaît bien, celui des enseignants-chercheurs. Un éminent linguiste connu et apprécié par ses pairs, Philipp Perlmann, est chargé de diriger un colloque organisé dans des conditions de rêve (un bel hôtel près de Rapallo), avec le soutien financier de l’entreprise Olivetti. Or, lui qui s’intéressait tellement aux langues se sent tout à coup incapable d’assumer la tâche qui lui a été confiée, incapable de rédiger la contribution que tous attendent de lui avec impatience, incapable d’aligner deux idées cohérentes, submergé ...

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