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Redécouvrir un grand écrivain danois : Herman Bang

Écrivain, critique, journaliste, grand voyageur, toujours auréolé du parfum de scandale lié à ses premières publications et entretenu par ses allures de « dandy » et son homosexualité si mal acceptée à l’époque, Herman Bang est mort il y a exactement cent ans, le 29 janvier 1912, alors qu’il effectuait un cycle de conférences aux États-Unis. Il n’avait que cinquante-quatre ans. Un siècle après, l’occasion est idéale de redécouvrir une œuvre qui fut tant admirée à l’aube du XXe siècle, et un homme en qui Claude Monet aurait vu « le premier écrivain impressionniste ».
Herman Bang
Mikaël (Phébus)
Herman Bang
Les quatre diables (Phébus)

Si les Autrichiens et les Allemands par exemple – peut-être en raison d’une Histoire qui les relie davantage que nous au Danemark – ont conservé la mémoire d’Herman Bang, il n’en est pas de même en France où il a peu à peu sombré dans l’oubli après avoir eu un notable retentissement au début du XXe siècle (1). Ce que l’on connaît de la littérature danoise aujourd’hui se limite souvent à Kierkegaard, Andersen ou Karen Blixen. On ne peut donc que saluer la résurrection d’une œuvre injustement négligée.


Les personnages d’Herman Bang évoluent dans cette atmosphère « fin de siècl...

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