« Le plus grand poète latino-américain » avait affirmé Jorge Semprun, excellent connaisseur, en sa préface à ce volume quelque peu inattendu puisque diverses autres traductions l’avaient précédé, dont une assez récemment avec laquelle François Maspero se voit conduit à entretenir un dialogue singulier qui met à sa façon en valeur toute la complexité de l’œuvre du Péruvien, mort prématurément à Paris en 1938 sans avoir été jaugé à sa juste mesure.
Il faudra attendre 1967 pour qu’il soit vraiment redécouvert chez nous grâce à l’étude fondamentale (collection « Poètes d’au...
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