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En octobre 1967, dans le numéro 2 de la revue surréaliste L’Archibras, Radovan Ivsić publia un texte intitulé « Déchaînez les masques dans la peau », où il traitait en poète de l’essence du théâtre, et dénonçait les expériences « à la mode » des metteurs en scène d’alors. Trois phrases-clés articulaient ce texte polémique : le théâtre c’est l’ennui subventionné ; le théâtre c’est l’excrément du pouvoir ; il n’y a pas de crise du théâtre, il y a une crise du corps.
Radovan Ivsic
A tout rompre. Controverse

Poète lui-même qui « n’a jamais cessé de ne faire qu’un de la chair de l’être aimé et de l’eau glissant sur les feuilles et les fougères », dira de lui Jean-Paul Goujon en préfaçant le volume consacré à son théâtre (1), Ivsić est donc aussi auteur dramatique de huit pièces, parmi lesquelles Le Roi Gordogane qui, après avoir été créée en avril 1956 sur les ondes de la RTF avec une distribution de rêve (Michel Bouquet, Alain Cuny, Jean Parédès, Alexandre Rignault, Daniel Sorano…), fut ensuite jouée internationalement à Zagreb, en croate, à Athènes, en grec, à Ne...

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