Sur le même sujet

A lire aussi

Vers l'égalité

 Formule inédite de la confession, entre l’Autobiographie d’Alice B. Toklas de Gertrude Stein et les Mémoires d’outre-tombe, L’Été de la vie de J. M. Coetzee, présenté comme le troisième volet de son œuvre autobiographique après Scènes de la vie d’un jeune garçon et Vers l’âge d’homme, emploie une forme tout à fait singulière.
J. M. Coetzee
L'été de la vie (Summertime)
(Seuil)

L’auteur y est mort et un universitaire, Monsieur Vincent, s’emploie à réunir des matériaux en vue d’écrire sa biographie. Non pas une biographie exhaustive, composant une image totalisante du personnage, mais une biographie fragmentaire, donnant voix à certaines personnes l’ayant connu dans des années-clés de son existence : « Je me concentre sur les années qui vont du retour de Coetzee en Afrique du Sud en 1971/1972 à son premier succès auprès du public en 1977. » La décennie est celle de la trentaine de l’écrivain, l’été de la vie. Et plutôt que de multiplier les interv...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi