La presse change en France, parfois pour le meilleur. Comment dire le réel ? Quelle forme donner à cette matière, austère ou chatoyante, toujours changeante, que dans les rédactions on appelle commodément l’« actu » ? Faut-il consacrer vingt-cinq feuillets au cheval de Ben Laden ? Au Forum économique mondial de Davos ? Faut-il raconter, comme Florence Aubenas dans Le Monde, les suites d’une grève dans une laiterie des Deux-Sèvres (1) ? Une poignée de journalistes se posent ces questions, et leur apportent une réponse surprenante : pourquoi pas ? Alors que d’un site d’information...
Zone de turbulences
Article publié dans le n°1134 (01 sept. 2015) de Quinzaines
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