A lire aussi

Zone de turbulences

La presse change en France, parfois pour le meilleur. Comment dire le réel ? Quelle forme donner à cette matière, austère ou chatoyante, toujours changeante, que dans les rédactions on appelle commodément l’« actu » ? Faut-il consacrer vingt-cinq feuillets au cheval de Ben Laden ? Au Forum économique mondial de Davos ? Faut-il raconter, comme Florence Aubenas dans Le Monde, les suites d’une grève dans une laiterie des Deux-Sèvres (1) ? Une poignée de journalistes se posent ces questions, et leur apportent une réponse surprenante : pourquoi pas ? Alors que d’un site d’information...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine