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Au retour du Mexique

Caroline Lamarche est allée au Mexique. Un voyage qui date de quelques années. Elle en a rapporté une sorte d’état des lieux où elle a séjourné et, comme le diable, l’horreur est dans les détails. Elle a adopté pour viatique cette légende de la « chienne de Naha » appartenant à la mythologie des Indiens Triquis. À partir de là, elle se livre à un questionnement sur soi, son enfance, son entourage, la place de la femme ici et là-bas, l’amour, la vie, la mort. Que l’autobiographie affleure à l’occasion n’est naturellement pas exclu, mais attention : « Je me souviens de la maison de Montreuil, à laquelle je viens de trouver une façade pour signaler le départ de cette invention qu’est le récit de mon enfance. » La phrase peut être piégée.
Caroline Lamarche
La chienne de Naha

Comment séjourner au Mexique quand on fuit les agences de voyages ? Il vous faut une main amie pour vous guider, par exemple celle de Maria. Cette dernière, de huit ans votre aînée, est la fille de l’Espagnole qui vous a quasiment élevée : « J’ai eu deux mères, la Belge et l’Espagnole. » Excellent moyen d’être bilingue. Votre presque sœur est mariée au Mexique. Elle vous accueille à Mexico, vous accompagne à Oaxaca : « la ville de la séparation, du divorce, de la fin de l’amour ». Là, c’est la voix de Malcolm Lowry qu’on entend, comme du début à la fin de ce livre, du r...

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