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Burroughs, Ginsberg, Huncke, Kerouac et les autres

La photographie de couverture sort du fonds Ginsberg, William Burroughs fait la préface et un hommage de Huncke à Kerouac au festival de Lowell clôt une série de textes d’ambiance et de portraits. Toute la Beat Generation, candide, défoncée, libertaire, est au coin de la rue, en pleine vie.
Herbert Huncke
Coupable de tout (The Herbert Huncke Reader)

Et quelle rue ! La 42e, bien sûr, naguère grouillante de ses putes, de ses escrocs et de ses pourvoyeurs de came, puis le bloc qui va de Times Square aux ombres de l’intimiste Bryant Park. Tout y passe, tout s’y passe : herbes, amitiés et rencontres nocturnes, car Huncke est un infatigable oiseau de nuit ou, pour reprendre Allen Ginsberg, « la prose de Huncke sort de sa bouche de minuit, c’est-à-dire que c’est une narration littérale comme le langage parlé – c’est pour cette raison qu’elle est à la fois bizarre et pure ».


Nous y voilà. Ce recueil de textes, le...

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