Pour un citoyen d’Exiloland, ainsi qu’il se définit, Fernando Arrabal, cet immense dramaturge « français », avoir rendez-vous à Zanzibar (ville chère à Apollinaire, inventeur du « surréalisme », qui y situe ses Mamelles de Tirésias) n’est rien d’autre que de s’asseoir virtuellement à la table de son ami Patrice Trigano, et correspondre en aveugle, en multipliant les lunettes (ainsi qu’on le voit sur la photo de couverture), c’est-à-dire les aperçus et les projections.
Ce « métèque de Melilla », comme il se dit parfois, est véritablement citoyen du monde, entre New York ...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)