L’auteur, une Bretonne désormais retirée à Clohars-Carnoët au bout des terres et toute vouée à l’écriture, fut naguère une Parisienne laborieuse et femme de livres. Ses premiers ouvrages – récit, poèmes, nouvelles – témoignent de son ex-métier d’ingénieur du CNRS en sociologie. Il y a déjà, il y aura toujours un regard sur la vie, l’existence des marges, le signe de l’exclusion, des vies improbables, si propre aux cités et aux mégapoles. Mais la grande affaire de son écriture reste cette brisure de l’âme et ce corps perdu qui scellent ce que l’on désigne sous l’appellation faussement ano...
La brisure de Marie Le Drian
Article publié dans le n°1094 (01 déc. 2013) de Quinzaines
Le corps perdu de Suzanne Thover
(Apogée)
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