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Un voleur de Bagdad est le quatrième roman de Sherko Fatah traduit en français par Olivier Mannoni (1). Allemand par sa mère et Irakien par son père, né en 1964 à Berlin-Est, l’auteur nous entraîne dans les espaces intermédiaires où les cultures se mêlent.
Sherko Fatah
Un voleur de Bagdad

On trouve dans ce livre un certain nombre de thèmes déjà présents dans Le Navire obscur. Le jeune Anouar, comme Kerim dans Le Navire, se heurte à un destin tragique : on le voit ballotté au gré d’événements qu’il ne maîtrise jamais, dévoyé plus que guidé par de faux protecteurs qui se servent de lui. Plus encore que Kerim, Anouar se salit les mains en acceptant de participer à des équipées meurtrières, sans cesse confronté à la question de la trahison et mû par l’aspiration à devenir ce pour quoi il a été mis au monde, et qu’il ignore. C’est un être décalé, d’avant...

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