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Fin de la jeunesse

 Comme on a pu l’observer chez nous grâce à la persévérance d’excellents éditeurs et traducteurs, deux époques bien tranchées se partagent l’œuvre singulière de César Aira, tant pour le fond que pour la forme. Et peut-être une troisième est-elle en train de surgir avec le livre assez imprévu – à la fois essai et confession – qui nous parvient aujourd’hui.
César Aira
Anniversaire

En un premier temps, avec des ouvrages comme Ema la captive (1981) ou La Robe rose. Les Brebis (1984) – son premier livre traduit en français (1) – l’auteur avait revisité avec humour et poésie les conflits opposant colons et Indiens dans les régions encore disputées de la pampa au XIXe siècle. Ce sont des romans d’un format classique, deux cents à trois cents pages, nourris de solides lectures et de ses souvenirs d’enfance à Coronel Pringles, sur l’ancienne ligne de frontière avec les territoires tardivement acquis à la colonisation, dans le sud de ...

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