Maintes fois citée, par Ernest Jones notamment qui y voyait l’attestation des immenses qualités d’un Freud neurologue, cette étude critique des aphasies nous arrive dotée d’annexes jusque-là inaccessibles et le tout dans une très minutieuse traduction de Fernand Cambon. Initialement publié en 1891, ce travail fut intégré dans une nouvelle édition allemande de l’ensemble des toutes premières œuvres de Freud, édition dirigée dans les années soixante et soixante-dix par Paul Vogel, professeur de neurologie à l’Université d’Heidelberg.
Décédé avant l’achèvement de ce travail, Paul Vo...
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