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Jonathan Coe, satiriste de la fin des années 2000

 Après avoir reçu le prix du Meilleur livre étranger en 1996 pour Testament à l’anglaise, puis le Médicis en 1998 pour La Maison du sommeil, Jonathan Coe revient avec son neuvième roman, La Vie très privée de Mr Sim, histoire d’un éternel perdant, falot mais farfelu à souhait. Mettant la composition littéraire au service de l’humour et d’une pochade sur le virtuel, il propose, cette fois encore, une échappée rocambolesque vers le pur divertissement.
Jonathan Coe
La vie très privée de Mr Sim (The Terrible Private Life of Mr Sim)

Depuis Swift ou Thackeray, les écrivains britanniques font vivre une littérature qui a le sens de la dérision, qui s’amuse de la société et des nouveautés à la mode. Plus proches de nous, Evelyn Waugh et ses Chers disparus, David Lodge avec ses universitaires titillés par leurs démons, ont entretenu la flamme d’une satire bienveillante où la drôlerie des péripéties et des voyages – fût-ce vers l’au-delà – ont su divertir et faire réfléchir sur des systèmes et des manipulations collectives. Il conviendrait sûrement de saluer aussi P. G. Wodehouse, qui juxtapose une rêverie domest...

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