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L'autre de soi

 Porté par la surprenante et magnifique image inaugurale de l’iceberg, le second roman d’Ophélie Jaësan s’est donné pour objet le corps flottant du souvenir. Mi-réel, mi-oubli, il convoque – à l’instar du roman – les absents et les morts. Un récit bref, pur, transparent, long en bouche, celle de l’esprit.

Pour M. N.


Mirage bref, aperçu comme par erreur sur la page de couverture, l’iceberg est l’étonnante image choisie par Ophélie Jaësan pour introduire un récit qui se déroule entre Nantes aujourd’hui, et Buenos Aires hier – ensanglantée : nous sommes en Argentine à la fin des années 70, la junte militaire impose un régime d’exception, marqué par une répression sanglante. Plus jamais croisé dans le corps du texte, l’iceberg, insolite, rare, surprise du navigateur qui le rencontre, forme le lointain arrière-plan du lecteur qui garde en mémoire son...

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