En effet Billy se retrouve meurtrier involontaire de son persécuteur et le Capitaine Vere contraint de condamner à la pendaison celui-là même qu’il chérissait le plus. Billy Budd meurt en s’écriant « Dieu bénisse le Capitaine Vere ! ». Les quelques pages d’épilogue qui suivent ce dénouement terrible ne dissipent en rien le malaise du lecteur mais lui apprennent que le Capitaine Vere, blessé plus tard lors d’un affrontement avec un bateau de guerre français (on est en 1797), expire en prononçant le nom de Billy Budd et que, par la suite, les marins gardent en reliques des morcea...
L'énigmatique puissance métaphysique de Billy Budd
Article publié dans le n°1051 (16 déc. 2011) de Quinzaines
                                        Le testament de Melville. Penser le bien et le mal avec Billy Budd                                    
                                    
                                
 
                 
        
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