Doubnov refuse de se désintéresser du pays dont il est citoyen. Il s’oppose au sionisme politique et reste en marge du Bund. Il rêve de culture universelle. Au moment de la conférence de Czernowicz (1908), quand il est discuté du problème de la langue nationale juive, il opte pour les trois langues, le yiddish, l’hébreu et la langue vernaculaire du pays. Il est lié avec beaucoup d’intellectuels de l’époque, dont Mendele et Sholem Aleikhem. « Succédant à plusieurs générations de lettrés, il espérait éduquer un être qui avait hérité de ses ancêtres une grande énergie dans le domaine sp...
La chair des souvenirs
Article publié dans le n°1030 (16 janv. 2011) de Quinzaines
Pain et Matza (suivi de) Poèmes au fil des ans
(Cerf)
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