De ce qu’on sait, l’auteur, né en 1970, fut avant cela gardien dans un camp de prisonniers de Karaganda (Kazakhstan), durant les dernières années de l’Union soviétique. Il est ensuite interné dans un hôpital psychiatrique, expérience à propos de laquelle il dit dans sa postface : « Je n’arrive pas à comprendre pourquoi je me sentais aussi bien avec ces gens. » À sa sortie, il reste gardien, cette fois-ci parmi les malades, les blessés, les sans-abri, les femmes qui viennent avorter, et tous ceux qui viennent mourir ou survivre. Mais ce n’est pas un gardien comme les au...
Le gardien de la maison des morts
Article publié dans le n°1119 (01 janv. 2015) de Quinzaines
Journal d'un gardien d'hôpital
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)