On sait l’apport de la littérature à l’Histoire. Rappelons, pour la période qui nous importe ici, les romans de l’après-réunification. Des auteurs comme Eugen Ruge (Quand la lumière décline), Uwe Tellkamp (La Tour), ou encore Monika Maron (Stille Zeile), mettaient en scène des pères fondateurs du régime communiste qui, pour être fictifs, n’en renvoyaient pas moins à des personnages réels. Le rapport que les enfants de ces bâtisseurs d’une société nouvelle (aujourd’hui disparue et discréditée) entretiennent avec le passé de leurs pères est, ce roman en donne la ...
Le passé de l’Allemagne n’est plus ce qu’il était
Article publié dans le n°1132 (16 juil. 2015) de Quinzaines
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)