Très tôt, les lectures de Tim Powers – Lovecraft, Sturgeon, Asimov ou Bradbury – l’ont convaincu qu’il fallait écrire à son tour pour créer des univers parallèles. Jeune étudiant, il qualifie Philip K. Dick de génie et invente avec son ami James Blaylock, qui signe avec lui trois nouvelles du recueil, le poète Ashbless, un certain Bénicendre dont le patronyme s’inspire des noms doubles des devanciers Wordsworth et Longfellow, ouvrant tout un programme peuplé de revenants, d’esprits et de fantômes. Le surnaturel est le domaine de Tim Powers, l’énigme son atout, le passé son territoire de ...
Les éphémères et les autres
Article publié dans le n°1036 (16 avril 2011) de Quinzaines
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