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Littérature suisse romande. Une gare peut en cacher une autre

Avec son dernier livre, l’écrivain jurassien Jean-Pierre Rochat donne un sens nouveau à l’expression « roman de gare » en lui ajoutant non seulement un -s, mais tout un bouquet d’histoires d’amour truculentes, loin des fadaises habituelles du genre. Un portrait autofictionnel de l’auteur en satyre, qui nous y lance un carpe diem plein d’ironie.

Que devient un paysan quand il ne peut plus se consacrer aux travaux de la terre et à ses bêtes, après cinquante ans de labeur ? Jean-Pierre Rochat, écrivain-paysan ou plutôt paysan-écrivain, a pris sa retraite ; plus exactement, il a été mis à la retraite, car en Suisse on ne reçoit plus aucune subvention agricole dès qu’on a passé le cap des 65 ans. En revanche, on a toujours le droit d’écrire, mais à propos de quoi ? Pas facile de changer de sujet quand on a passé sa vie à décrire toutes sortes de scènes de la vie agricole. Le dernier roman en date de Rochat, Petite brume (20...

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