Après L’Effrayable (2012) et Les Nébuleuses (2013), Andréas Becker signe un troisième roman aux éditions de La Différence. Reprise et prolongement d’un manuscrit ébauché vingt ans plus tôt, Les Invécus vient clore un cycle dans le travail de cet écrivain allemand qui a élu domicile dans la langue française. Une langue à laquelle il tord librement le cou et sait faire rendre un jus amer et facétieux. Pourtant, si l’on retrouve bien une « patte » lorsqu’on le lit, l’écriture de Becker ne repasse jamais par le même chemin. Les inventions et déstructurations imposé...
Percevoir dans les failles
Article publié dans le n°1151 (16 mai 2016) de Quinzaines
Les Invécus
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