Entre idéal esthétique et défi, il n’y a pas de mystique dans ce projet, ni de morale, être vierge n’est pas une qualité en soi pour Victoire – encore moins de pudeur ou de rejet de son corps. Adepte de la masturbation et du fantasme, elle ne rejette ni le plaisir, ni la séduction et sait profiter de sa chair. À la débauche de larmes de « ses amies perdues, héroïnes d’un universel féminin malheureux et angoissé », Victoire préfère simplement une vision doublement exclusive de l’amour. Plutôt que de partir en quête de stratagèmes destinés à éviter la souffrance d’être quittée, t...
Pour un bonheur différent
Article publié dans le n°1053 (16 janv. 2012) de Quinzaines
La seule fois de l'amour
(P.O.L.)
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)