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Tendre est la vie

Jean-Michel Maulpoix
Le Jardin sous la neige

C'est sur l'hiver, métaphorique ou non, que s'ouvre Le Jardin sous la neige, livre placé sous la férule de Valéry, qui ouvre et clôt le texte, mais aussi écrit à l'ombre de Baudelaire dont on sent la présence feutrée. Dans la lignée de ses dernières parutions, Maulpoix y ausculte d'une façon poignante la hantise de la disparition, le devenir-marionnette et ce qui le précède, la « progressive paralysie ». Impossible de ne pas penser au Mallarmé de Brise marine : « La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres. » Le désir est devenu cendre légère, épars...

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