Eh bien, le livre de Mario Cuenca Sandoval, un nom sonore et qui fait bouger l’air, arrive à point nommé pour vous, même s’il commence mal, par une catastrophique collision de voitures qui expédie provisoirement les deux principaux personnages – Gabriel et Hubert Mairet-Levi – dans un hôpital de Palma, où ils discuteront longuement de leur culpabilité dans l’usage de la poudre orange, cette stupéfiante « dantéine » dont il est fait un emploi si courant dans le roman, tout particulièrement – confessons-le – lors de soirées parisiennes.
Tandis que plus tard, donc, Gabriel, alors je...
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