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Une puissante fresque guerniquéenne

Lui, c’est Abel, algérien en France, français à Londres, londonien ailleurs, au travail en particulier, un monde aliénant où c’est tout ou rien : ici il est tout, là-bas il n’est rien, du pareil au même, « un homme incapable de se reconnaître dans le miroir » et qui « passe [d’une vie] à l’autre, comme on fait tourner un barillet à la roulette russe ». Abel évoque un clone, un fantôme, quelque chose de légèrement bouffon aussi, dans son déni chronique de la réalité. 


Elle, c’est Allegra, son bébé, sa fille au nom de panacée, « le salut ...

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