Ses œuvres se succèdent dans la même veine de surprise attristée et de goguenardise lexicale. Ainsi, dans La Bréhaigne (2), publiée chez Denoël en 1974 par les soins de Maurice Nadeau, il se découvre lui-même étranger et comme orphelin dans cette Bretagne où l’on vient de lui confier un poste universitaire : « on se retournait sur moi, on me montrait du doigt : Bagnoul, Pied de Nez, Boule Suif ». Beaucoup de temps s’est écoulé depuis, toute une carrière en ce même lieu, ponctuée de nombreux livres, et voici à présent qu’à son veuvage, relaté récemmen...
Vivre et revivre
Article publié dans le n°1093 (16 nov. 2013) de Quinzaines
Guildo blues
(Apogée)
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