Évidemment, le sous-titre est aguicheur. Tout a été dit sur Brecht et les femmes. Pamela Katz reprend la thèse de Sabine Kebir, selon laquelle il ne saurait être accusé d’exploitation pure et simple de ses collaboratrices et amantes. Chacune y aurait trouvé son compte et, avec son aide, réalisé ses propres aspirations. Bien sûr, il nous est ici rappelé à quel point l’hygiène de Brecht laissait à désirer, son célèbre cigare masquant à dessein son odeur corporelle. De Kurt Weill on apprend au contraire que c’était un homme propret. Homme d’habitudes aussi, contrairement à un Brecht bohème....
Weill et Brecht
Article publié dans le n°1124 (16 mars 2015) de Quinzaines
The partnership - Brecht, Weill, three women and Germany on the brink
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