La dernière en date de ces traductions est signée par Béatrice Vierne, qui a déjà donné en version française chez le même éditeur Femmes et filles et Cranford, ce qui semble témoigner d’un réel engagement au service de la cause de Gaskell. En couverture, elle présente cette œuvre comme un « roman », ce qui n’a rien de surprenant, si l’on compare sa longueur avec certaines des productions romanesques actuelles. Mais, si l’on se rappelle le format des romans de l’époque victorienne, on comprend qu’il s’agit d’autre chose : plutôt une longue nouvelle subdivisée en trente e...
Elizabeth Gaskell conteuse
Article publié dans le n°1025 (01 nov. 2010) de Quinzaines
Les confessions de Mr Harrison
(L'Herne)
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