"Une série de petits chefs-d'oeuvre"

Après les précédents volumes des nouvelles de D. H. Lawrence, "Étreintes aux champs" (2009), "L’Officier prussien" (2011) et "Chère, ô chère Angleterre" (2012, QL n° 1 064), voici le quatrième, traduit encore par Marc Amfreville. Il se fonde toujours sur la Cambridge Edition of the Works of D. H. Lawrence, qui permet de disposer des meilleures sources et d’un appareil critique particulièrement fiable.
D. H. Lawrence
La femme qui s'enfuit et autres nouvelles

Lawrence révisait beaucoup, aussi bien ses manuscrits que ses tapuscrits. Et comme il était toujours en voyage, loin de l’Angleterre, il ne pouvait veiller directement à la publication de ses œuvres. Beaucoup d’éditions anciennes étaient donc insuffisantes ou fautives et comportaient parfois des interventions éditoriales intempestives, alors que cette édition se rapproche davantage des intentions de l’auteur.


Ce volume IV rassemble treize nouvelles écrites entre 1924 et 1928, une période de voyages intense pour l’auteur, le plus souvent en Europe. La Grande Guerre, qui a tant inf...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine