Sur le même sujet

A lire aussi

Un adieu difficile à l'enfance

Le public français a tendance à réduire la production multiple de l’écrivain écossais James Matthew Barrie (1860-1937) à une seule œuvre, certes importante et célèbre, puisqu’il s’agit de Peter Pan, l’histoire de ce jeune garçon qui ne voulait pas grandir (comme son auteur, d’ailleurs) et se réfugiait dans un monde imaginaire qui a enchanté des générations de jeunes lecteurs. Mais, avant de se tourner vers le théâtre qui lui a apporté la fortune et la gloire, Barrie a été un auteur de fiction, inspiré par son Écosse natale. Dans ce conte, qui appartient à la fin de sa carrière puisqu’il date de 1932, il semble revenir à la fiction de ses débuts et à son cadre familier, avec une inspiration nouvelle.
James Matthew Barrie
Adieu, Miss Julie Logan. Un conte d'hiver

Pour la littérature britannique en traduction, la saison semble propice aux contes, puisque la collection « Folio » vient de publier les Contes de Noël de Dickens, avec une engageante préface de Dominique Barbéris. En dehors d’une même présence de fantômes chez les deux auteurs, il faut bien constater une différence importante entre l’inspiration de Dickens, qui déborde d’optimisme et de sympathie active, et celle de Barrie, qui reste plus austère. L’Anglais célèbre l’esprit joyeux de Noël, alors que l’Écossais, dont le récit se situe également en décembre, autour de N...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi