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Articulée autour de la figure d’Alberto Giacometti, le seul artiste que Genet ait jamais admiré, une exposition rend hommage au tropisme du poète pour la Méditerranée. À travers l’évocation de trois œuvres fondatrices, Journal du voleur (1949), Les Paravents (1961) et Un captif amoureux (1986), le parcours, conçu par Albert Dichy et Emmanuelle Lambert, rend limpide cette trajectoire sinueuse où questionnements politiques et esthétiques se trouvent intimement mêlés. 

EXPOSITION

JEAN GENET, L’ÉCHAPPÉE BELLE

MuCEM, Marseille

Du 16 avril au 18 juillet 2016

 

CATALOGUE DE L’EXPOSITION

Gallimard/Mucem, 260 p., 32 €

L’homme qui marche, c’est lui. Rien ne paraît pourtant plus éloigné de la silhouette longiligne de la sculpture la plus célèbre du monde que l’allure ramassée de Jean Genet. Peu importe. Toute tentative de ressemblance serait perçue comme une facilité, l’important est d’adopter l’angle exact qui permette d’affronter toutes les tempêtes. Avec son air de petit boxeur, Genet a passé sa vie à surmonter les controverses, ne renonçant jamais à affirmer ses idées dans une société trop immature pour les entendre. Qui mieux que lui incarne donc cette figure de l’homme existentiel, à la fois au de...

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