Dans 14 juillet (paru en août 2016), on avait pu déceler une intention de réhabiliter la puissance du peuple, de rappeler que le changement est toujours possible et passe nécessairement, à un instant T, par des êtres de chair et de sang que l’on aura oubliés demain. On y avait parfois vu un miroir tendu vers notre présent et un clin d’œil aux mouvements citoyens qui agitaient la rue (Nuit debout, notamment). Dans le récit plus sombre que met en place L’Ordre du jour, on a l’impression que l’auteur a voulu à nouveau mettre en scène quelques-uns des cercles moins vertueux...
Le ridicule et l’effroi
Article publié dans le n°1178 (01 sept. 2017) de Quinzaines
L'ordre du jour
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