Avec Danièle Robert, qui a déjà traduit l’Enfer et le Purgatoire (Actes Sud, 2016 et 2018), ou Michel Orcel, qui vient de traduire l’Enfer (La Dogana, 2019), René de Ceccatty lui-même a proposé une traduction octosyllabique de La Divine Comédie, contribuant à l’agrandissement de la réception de Dante en France (Seuil, 2017). En l’espace de trente ans, depuis la traduction de Jacqueline Risset (1985-1990), nous ne comptons pas moins de huit traductions du poème de Dante, alors que nous ne disposons actuellement que de trois nouvelles traductions intégra...
Les amours de Pétrarque
Article publié dans le n°1218 (16 juil. 2019) de Quinzaines
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