Le récit commence en 1985 : Franco Revel, sur le banc des accusés, doit s’expliquer sur la mort de Stefano Guerra, jeune Frioulan, militant d’extrême droite. Son propos est immédiatement empreint de violence et d’arrogance face à une société qui demande des comptes, et qui semble sous-estimer le poids du fascisme en Italie en 1968. Écrire sur le terrorisme italien d’extrême droite, alors que ce sujet a été relativement peu traité dans la littérature, c’est un choix que Garlini considère comme nécessaire. Le personnage principal, Stefano Guerra, est le parangon du jeune misérable et ...
Les lois de la haine
Article publié dans le n°1105 (16 mai 2014) de Quinzaines
                                        Les noirs et les rouges                                    
                                    
                                
 
                 
        
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