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Dans ce roman réaliste extrêmement documenté, « Les Noirs et les Rouges », l’écrivain Alberto Garlini s’intéresse à un épisode rarement évoqué de l’histoire italienne, celui du terrorisme d’extrême droite durant les années de plomb, en suivant Stefano Guerra, jeune étudiant au sujet de qui l’éditeur se demande s’il est un « tueur psychopathe, un terroriste sans pitié ou un Pinocchio moderne en quête de père ». Vaste programme…
Alberto Garlini
Les noirs et les rouges

Le récit commence en 1985 : Franco Revel, sur le banc des accusés, doit s’expliquer sur la mort de Stefano Guerra, jeune Frioulan, militant d’extrême droite. Son propos est immédiatement empreint de violence et d’arrogance face à une société qui demande des comptes, et qui semble sous-estimer le poids du fascisme en Italie en 1968. Écrire sur le terrorisme italien d’extrême droite, alors que ce sujet a été relativement peu traité dans la littérature, c’est un choix que Garlini considère comme nécessaire. Le personnage principal, Stefano Guerra, est le parangon du jeune misérable et ...

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