L’apprentissage de l’espéranto, l’avocat de Budapest, Tivadar Soros (1894-1968), le doit à sa longue captivité en Russie (Sibérie) pendant la Première Guerre mondiale, comme soldat de la Double Monarchie austro-hongroise. Après son évasion de Khabarovsk, il met plus de deux ans à rejoindre la Hongrie et rentre, animé d’un immense appétit de vie, à Budapest. Indépendamment de la revue Literatura Mondo dont il s’occupe, ses occupations professionnelles n’auront pour but que de lui permettre de vivre dans l’aisance. Sans plus. « Mon capital, c’est ma tête » avait-il cout...
Manuel de survie en condition extrême
Article publié dans le n°1051 (16 déc. 2011) de Quinzaines
Masquerade. Dancing around the death in nazi-occupied Hungary
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