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Où le romancier en appelle au lecteur : qui était Alejandro Bevilacqua ?

On se souvient que l’auteur de ce livre, Alberto Manguel, fut un jour ce jeune étudiant qui, travaillant après les cours dans une librairie de Buenos Aires, se vit solliciter par Borges – alors déjà presque aveugle – pour lui faire la lecture certains soirs.
Alberto Manguel
Tous les hommes sont menteurs

Il a raconté cette expérience inoubliable dans un bref ouvrage (1) qui demeure une des meilleures introductions à l’œuvre du grand Argentin.


Et voici qu’après tant d’essais sur les livres et les bibliothèques suscités par l’admiration de celui qui fut son maître, il prend cette fois la plume pour un roman où il se risque à se représenter lui-même comme un des personnages, fûtce avec une certaine distance teintée d’humour et de perplexité. Il s’agit en quelque sorte, quant à la trame, d’un roman policier classique, même si l’inspecteur quelque peu falot qui s’y promène çà et là ne...

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